Berlin soutient Ramses
La détresse de Ramses, face à l'attaque d'un blog autrefois respectable par une bande de geeks irrespectueux portant toque de fourrure et queue de raton-laveur sur la tête, m'a beaucoup ému. Aussi ai-je décidé d'apporter un peu de réconfort à l'ami poitevin, la terreur des lucarnes de Vernoux, le tripatouilleur d'effets de trompette de la vallée de la Boutonne, le compositeur de bande-originale de Derrière le Poirier. Parce que j'aurais pu gentiment finir mes articles sur Berlin en vous décrivant ce que j'y cherchais, c'est-à-dire des endroits hors du temps, oniriques, tels que ceux qu'on peut voir dans Les Ailes du désir de Wim Wenders.
Une fête foraine fantôme à l'endroit du no man's land, là où il n'a pas été encore reconstruit.
Ou alors tout aussi bien vous raconter le clubbing en compagnie du maître en la matière, Papy Clubby Bounty, et ce que nous avons trouvé en boîte.
Le Sage Club, en tout début de soirée
Une télévision torturée et séquestrée
Oui, oui, c'est une piscine !
Enfin j'aurai pu vous expliquer comment nous avons sauvé Berlin de l'attaque du kebab géant à 3€ voire moins.
Il va falloir donner tout ce qu'on a
Mais non, je vais simplement mettre des photos d'avions, pour que Ramses se console. Elles ont été prises au Deutschen Technikmuseum, un musée, que j'ai visité une fois Bounty parti, tellement grand que j'ai pas pu tout voir.
Un Messerschmitt Bf-109. Classique en Allemagne.
Un Sabre Dog
Avertissement : le prochain paragraphe contient de l'humour, qui pourrait apparaître à certain(e)s comme du foutage de gueule. Il n'en est rien (enfin, un tout petit peu). Il s'agit d'une blague potache de bas niveau destinée à faire rire des membres du club gras, et si possible, quelques autres personnes. Certains parleront d'acharnement. Je répondrai que c'est un enchaînement malencontreux d'évènements blogesques. Si vous n'avez pas compris la dernière phrase, tant mieux.
J'ai eu beaucoup de chance en visitant ce musée, pourtant je ne savais pas vraiment ce que j'allais y trouver. Le hasard a fait qu'il y avait à ce moment une exposition consacrée à la première femme brevetée pilote de la promo 61 de l'ENSICA. Plusieurs pièces étaient là pour rappeler son dur parcours dans un monde d'hommes machos.
J'ai eu beaucoup de chance en visitant ce musée, pourtant je ne savais pas vraiment ce que j'allais y trouver. Le hasard a fait qu'il y avait à ce moment une exposition consacrée à la première femme brevetée pilote de la promo 61 de l'ENSICA. Plusieurs pièces étaient là pour rappeler son dur parcours dans un monde d'hommes machos.
Son premier atterrissage
Son deuxième atterrissage. On notera que les ailes ont tenu cette fois-là.
Pour rassurer les lecteurs, elle a accompli beaucoup depuis, devenant même la pilote officielle d'un des ex-présidents du BDE de l'ENSICA. Il pourra vous en parler, si vous lui demandez.
Autorisation de tirer à vue sur moi, si ça peut défouler certain(e)s. Fin de la boutade. En espérant avoir redonné le sourire à Ramses. C'est quand même le but de cet article.
Autorisation de tirer à vue sur moi, si ça peut défouler certain(e)s. Fin de la boutade. En espérant avoir redonné le sourire à Ramses. C'est quand même le but de cet article.